Paul Vialar « les morts vivants ».
Le livre de demain, Arthème Fayard 1956.
287 pages.
« livre horrible et magnifique » EMILE HENRIOT de l’Académie française.
Dans cet ouvrage romancé, Paul Vialar, nous dresse un tableau haut en couleur de son expérience du front qu’il a vécue au sein d’un groupe franc, lors de la première guerre mondiale.
Loin des élucubrations d’un Barbusse, son livre est un témoignage poignant, profondément humain.
A mi chemin entre un Gibeau d’ « allons z’enfants » et un Junger d’ « orage d’acier » le récit de l’auteur n’est ni vraiment antimilitariste, ni va t’en guerre.
Les personnages de l’odieux capitaine exigeant des condamnations à mort à titre d’ exemples, ou de » l’apache » qui le zigouille ont peut être inspiré Stanley Kubrick pour son film « les sentiers de la gloire » ?


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